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Immobilier : le nombre de transactions dans l’ancien accuse une forte chute au T2 2012
Le nombre de transactions a baissé au second semestre de l’année en raison notamment de l’attentisme des acteurs du marché selon une publication de l’INSEE.
Environ 788 000 transactions enregistrées entre juillet 2011 et juin 2012
Une nouvelle baisse du nombre de transactions est à signaler sur le marché des anciens. Une étude établie par l’institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) montre en effet une contraction importante de l’activité au cours du deuxième trimestre de l’année. Entre juillet 2011 et juin 2012, près de 788 000 biens immobiliers anciens ont changé de mains, en baisse de 4 % comparé aux chiffres enregistrés sur la période avril 2011-mars 2012. Christian Benasse, Président de la Chambre des Notaires de France, n’a pas caché son inquiétude face à la situation, annonçant que le secteur immobilier traverse actuellement une période difficile.
Les acheteurs et les vendeurs se montrent plus vigilants
Il s’agit d’une conséquence logique de la crise économique, selon les experts. La France vit actuellement dans un environnement incertain, alimentant ainsi le comportement attentiste des acquéreurs potentiels ainsi que des vendeurs. Les premiers, espérant une hausse des prix, refusent de mettre en vente leurs biens. Quant aux seconds, ils attendent que le scénario inverse se produise. Pour cette cause, le nombre de ventes a fortement baissé en 2012 par rapport à 2011. Les acteurs du marché peinent à trouver un repreneur potentiel, et les stocks ont du mal à s’écouler. Pourtant, les prix ne baissent pas.
Les prix restent stables
Les prix affichent une forte résistance à la baisse sur l’ensemble du marché français. Il n’en demeure pas moins qu’un fléchissement léger de 0,3 % a été enregistré au cours du second semestre. Nombreuses peuvent être les causes de cette situation dont notamment la baisse du taux moyen des crédits immobiliers qui est passé de 3,95 % au mois de février à 3,51 % au mois d’août, soutenant ainsi le pouvoir d’achat des acquéreurs potentiels. À Paris, les prix du mètre carré ont même bondi de 1 % environ sur le marché des appartements pour s’établir à 8 340 euros.