Articles récents
Archives
- juin 2015
- mai 2015
- avril 2015
- mars 2015
- février 2015
- janvier 2015
- décembre 2014
- novembre 2014
- octobre 2014
- septembre 2014
- août 2014
- juillet 2014
- juin 2014
- mai 2014
- avril 2014
- mars 2014
- février 2014
- janvier 2014
- décembre 2013
- novembre 2013
- octobre 2013
- septembre 2013
- août 2013
- juillet 2013
- juin 2013
- mai 2013
- avril 2013
- mars 2013
- février 2013
- janvier 2013
- décembre 2012
- novembre 2012
- octobre 2012
- septembre 2012
- août 2012
- juillet 2012
- juin 2012
Catégories
Achat immobilier : les points à étudier avant d’emprunter
Depuis la crise financière de 2008, de moins en moins d’acquéreurs se trouvent dans la possibilité d’acheter sans passer par un crédit immobilier. Voici un survol des cinq points à analyser avant d’entamer ce passage obligé.
La capacité d’endettement
Pour évaluer sa capacité d’endettement, il suffit de se référer au montant des mensualités du ou des crédits qui ne doit pas dépasser 33 % de ses revenus. Par la suite, le recours à un outil simulateur de crédit immobilier n’est pas à écarter, en jouant notamment avec la durée de remboursement (15, 20, 25 ans…).
L’apport personnel
Fourni par l’emprunteur lui-même, l’apport personnel sert d’appui majeur à son dossier de demande de crédit immobilier. Représentant entre 10 et 20 % du montant emprunté, cette somme d’argent permet de régler certains frais (frais de dossier, notaire…). Plus son montant est conséquent, plus le dossier est meilleur et l’emprunteur peut aspirer à un taux très avantageux.
Pour se constituer un apport personnel significatif, l’emprunteur peut recourir à d’autres types de crédits comme le Prêt à Taux Zéro Plus (PTZ+), le Prêt d’Accession à la Propriété (PAP), ou encore le Prêt à l’Accession Sociale (PAS). Un petit passage à la Mairie ou à d’autres organismes comme l’Agence Départementale pour l’Information sur le Logement (ADIL) lui permettra de savoir s’il peut bénéficier ou pas de ces prêts.
Le type de taux
On distingue trois types de taux : le taux fixe, le taux révisable et le taux mixte. Le premier permettant de prévoir à l’avance le montant de ses mensualités pendant toute la durée du prêt. Le second est fonction du taux directeur de la BCE (Banque Centrale Européenne). Le dernier s’associe à un prêt à deux paliers : l’un à taux fixe et le second à taux variable.
Pour mieux étudier le type de taux à assortir de son crédit immobilier, le recours aux services d’un courtier est envisageable.
La situation financière
Les banquiers se réfèrent à la situation financière de l’emprunteur, lors de l’étude du dossier de celui-ci. Un compte bancaire à découvert durant les six derniers mois précédant la demande de crédit immobilier peut alors en constituer un frein.
On peut également assainir sa situation financière en remboursant l’ensemble des crédits à la consommation en cours. Cette démarche permettant par la même d’obtenir des modalités de prêt avantageuses.
La situation professionnelle
La stabilité professionnelle forme également un catalyseur pour le processus d’octroi d’un crédit immobilier. Sont ainsi privilégiés les demandeurs justifiants d’un contrat à durée indéterminée, ainsi que de quelques années d’ancienneté. Les travailleurs qui se rangent sous le pavillon Secteur libéral pourront quant à eux fournir un bilan sur les 36 derniers mois d’activité.