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Comment renégocier un taux de crédit immobilier ?
Les taux appliqués par les banques ont retrouvé leur plancher historique début juin. La période semble ainsi idéale pour demander une réduction du taux de crédit immobilier à son banquier.
Le parfait timing pour une renégociation ?
Si en début d’année, il s’avérait impossible de souscrire un prêt immobilier en dessous de 4 %, la situation est tout autre actuellement. Les banques proposent en effet des offres avec des taux d’intérêt moyens allant de 3,70 % à 4 % sur 20 ans. Les très bons dossiers disposent même d’une plus grande marge de discussions et peuvent décrocher un crédit avec un taux autour de 3,40 %. La période actuelle semble ainsi idéale aux propriétaires pour renégocier leur crédit immobilier avec leur banquier ou un établissement concurrent. Cette démarche, avantageuse à première vue, comporte toutefois des pièges à éviter et mérite une sérieuse réflexion de la part du propriétaire-bailleur.
L’opération est-elle viable ?
La renégociation du crédit immobilier implique souvent des frais supplémentaires et parfois même de signer un nouveau contrat. Les établissements financiers peuvent en effet exiger le paiement d’indemnités de remboursement anticipé, dont la valeur équivaut généralement à 3 % du capital restant dû, sans compter les frais de dossiers et les nouvelles garanties requises. Ainsi, avant de contacter le banquier, mieux vaut retenir quelques principes de base. Pour que l’opération soit avantageuse, l’emprunteur ne doit pas avoir remboursé plus de la moitié de son crédit, idéalement le tiers. La négociation ne peut être intéressante que si elle aboutit à une réduction d’au moins 1 % du taux.
Les solutions les plus évidentes
Certes, il est toujours possible d’appeler directement son établissement bancaire et demander un allègement du taux. Cette option ne garantit toutefois aucun résultat significatif, la plupart des banques se montrant particulièrement réticentes sur le sujet. Le recours à un banquier concurrent ou un organisme de rachat de crédit demeure ainsi la procédure la plus bénéfique. Cette démarche permet de contracter un nouveau prêt avec un taux plus avantageux.