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Crédit immobilier : gare aux frais annexes

 

 

 

Dans le cadre d’un emprunt immobilier, les mensualités ne sont pas les seuls frais dus par l’emprunteur. Des frais supplémentaires dits frais annexes viennent en effet toujours s’ajouter au coût global du crédit.

 

Quels sont les différents frais annexes ?

Les frais d’assurance représentent souvent une bonne partie des frais annexes. L’octroi d’un prêt immobilier est en effet conditionné par la souscription d’une assurance chômage ou assurance décès. Sans cette garantie, l’emprunteur ne peut espérer obtenir son crédit même si son profil correspond à celui de l’emprunteur idéal : moyenne d’âge entre 30 et 40 ans, professionnellement stable, apport personnel conséquent et revenus élevés. En plus des frais d’assurance, les frais annexes comprennent également les frais de dossier dont le montant varie d’un établissement à l’autre ainsi que les pénalités dues par l’emprunteur en cas de remboursement par anticipation.

Il est également courant que les banques exigent des garanties supplémentaires afin de prévenir les risques de non-paiement des mensualités. Il s’agit soit d’une hypothèque soit d’une caution mutuelle dont les coûts non négligeables viennent s’ajouter à ceux du crédit. Pour un prêt immobilier d’une valeur de 100 000 euros, le montant de l’hypothèque s’élèvera par exemple à 1 500 euros et la caution immobilière coûtera plus de 1 000 euros à l’emprunteur. Ces frais représentent jusqu’à 15 % du montant total de l’emprunt, toutefois en fonction du profil de l’emprunteur et dans de rares cas, les banques peuvent faire un geste commercial et supprimer les garanties supplémentaires.

 

Opter pour une garantie peu onéreuse

L’hypothèque est un acte notarié et, en tant que tel, il implique le versement de différents frais : les honoraires du notaire, les frais de timbres et frais d’enregistrement ainsi que la rémunération du conservateur des hypothèques. Il implique également le paiement d’une taxe de publicité foncière ou TPF dont le coût représente 0,751 % du montant de l’emprunt immobilier. Si le crédit est souscrit dans le cadre d’un prêt à taux zéro ou d’une accession sociale, l’emprunteur ne paie aucun des frais précédemment cités. Il faut savoir que les frais pour un privilège de prêteur de deniers PPD ou une caution mutuelle reviennent moins chers qu’une facturation de mainlevées.

Il faut également savoir qu’en cas de remboursement par anticipation, les garanties de non-paiement des mensualités versées par l’emprunteur n’ont plus de raison d’être et doivent donc être remboursées à l’emprunteur. La plupart des banques ne restituent cependant pas les sommes versées sauf dans quelques cas où le montant de la restitution ne représente souvent que le tiers – 35 % – de la garantie. Il est ainsi conseillé de choisir une garantie peu onéreuse en comparant les différents prêts possibles avant de s’engager.

 

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