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Hausse du prix de l’immobilier ancien dans la capitale en avril

La baisse des prix de l’immobilier ancien, observée vers la fin de l’année 2011 et durant le premier trimestre de cette année n’a été que passagère. Les professionnels du secteur notent déjà une reprise de la flambée des prix sur ce marché en avril.

 

Progression de 1,5 % du prix du mètre carré
La baisse des prix de l’immobilier ancien dans la capitale parisienne s’était maintenue au premier trimestre de cette année. Seulement, la tendance baissière n’aura pas duré puisqu’en avril dernier, la Chambre des Notaires a constaté une augmentation de 1,5 % des prix dans ce secteur en variation mensuelle. Le tarif moyen du mètre carré sur le marché de l’ancien accuse alors une progression, passant de 8260 euros en mars dernier à 8380 euros un mois après, dépassant le prix de 8370 euros enregistré au T3 de l’année dernière. Sur une période de douze mois, cette variation est de +6,8 %.

Des ventes de logements anciens en diminution de 25 %

Parallèlement, les habitations anciennes ne se sont pas très bien vendues durant le mois d’avril. En effet, en glissement annuel, un recul de 25 % du nombre de transactions immobilières a été enregistré à Paris. Sur tout le territoire de l’île de France, les statistiques font état d’une diminution de 20 % des ventes réalisées par les professionnels et les propriétaires. Les opérateurs immobiliers confient par ailleurs qu’ils mettent beaucoup plus de temps pour vendre un bien. Le délai de vente passe de 60 jours l’an dernier à 90 jours cette année.

Voir ce que la loi réserve pour le secteur

Le secteur de l’immobilier semble ne plus suivre le mécanisme du marché. La chute des ventes enregistrée en avril ne provient pas forcément de la flambée des prix dans l’ancien et encore moins d’une compression de la demande. Elle serait plutôt due à l’attitude des promoteurs qui refusent de céder leur bien. Ces derniers préfèrent attendre et savoir ce que leur réserve la nouvelle politique du logement mise en place par le nouveau gouvernement. L’interdiction du congé pour le commerce de bien immobilier, le blocage des loyers, ou encore la hausse du nombre de logements sociaux sont autant de sujets qui les préoccupent.

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