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L’assurance décès et l’assurance invalidité, comment ça marche ?
L‘assurance décès est une assurance à risque pour le souscripteur comme pour l’assurance. La banque l’exige d’ailleurs, pour débloquer un prêt immobilier. Pour que chacun puisse reconnaître les bons contrats d’assurance avant de signer, voici quelques informations sur l’assurance décès.
Les fondamentaux de l’assurance décès
Lorsqu’elles traitent un dossier d’assurance décès, les compagnies d’assurance sont, au même titre que l’assuré, conscientes que l’enjeu est la mort de l’assuré. Elles traitent donc les dossiers au cas par cas sachant que le facteur risque s’axe donc autour de l’assuré. Pour qu’un contrat d’assurance décès soit valide, il faut que l’assuré ait notifié son consentement et qu’il ait répondu à toutes les questions que la compagnie d’assurance lui a posées.
Au moment de signer son contrat il devra désigner son ou ses bénéficiaires en cas de décès. De plus, son état de santé jouera beaucoup dans l’évaluation des risques, et donc des primes d’assurances. Généralement, un contrat d’assurance décès inclut les personnes âgées de 18 ans et plus, pour une durée de 70 ou 80 ans environ. Deux facteurs seulement sont capables de déclencher la rétrocession des capitaux : son invalidité totale et irréversible, ainsi que son décès.
Invalidité et perte d’autonomie : pour les cas pathologiques graves
La garantie PTIA inclut la perte totale et irréversible de l’autonomie de l’assuré. Tout comme l’invalidité absolue et définitive, elle accorde l’attribution du capital prévu à l’assuré, dans le cas où ce dernier est victime d’une pathologie grave, qui l’empêche de continuer à être autonome. Il devra donc prouver qu’il n’est apte à exercer un quelconque type d’activité, et qu’il doit être assisté en permanence pour effectuer les tâches quotidiennes, comme manger, se laver, se vêtir, se déplacer, etc.
La garantie décès et les assurances décès accidentels
Dans le cadre d’une assurance de prêt, s’il existe un avantage majeur dans le contrat de garantie décès, c’est la clarté de la situation : l’assuré est vivant ou mort, ce qui écarte alors tous les doutes possibles. Toutefois, si l‘assuré est porté disparu, il n’y a aucune manière de solliciter l’assurance pour procéder au remboursement du prêt. Il est en effet indispensable de constater la mort de la personne assurée, afin d’obtenir un certificat de décès : le document indispensable pour sceller les termes du contrat d’assurance concernant le prêt contracté.
Il faut faire attention, car toutes les assurances décès ne sont pas identiques. Certains contrats ne couvrent par exemple que les décès survenus par accident. Et encore, la mort accidentelle évoquée n’est pas réellement cernée. Généralement, il faut que la mort de l’assuré soit issue d’une cause soudaine, imprévisible pour que l’assurance couvre le remboursement de la banque. Même si ces types de contrats ne présentent pas les mêmes garanties que l’assurance décès conventionnelle, ils sont malheureusement appelés assurance décès également.