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Les tarifs immobiliers dans les villes d’Europe
La capitale de la Grande-Bretagne et celle de l’Hexagone présentaient les tarifs immobiliers les plus chers l’an dernier en les comparant aux prix pratiqués dans les Nations de l’UE.
 Paris et Londres en tête
Le marché londonien de l’immobilier affiche un prix record de 10 000 euros/mètre carré au cÅ“ur de la cité pour une moyenne de 6000 euros sur le territoire. À Paris, le tarif le plus cher est évalué à 8300 euros alors que les cours tournent aux environs de 5 500 euros.
Ces deux villes sont les endroits de l’UE où la valeur de l’habitation résidentielle est la plus élevée d’après une enquête réalisée par le cabinet spécialisé dans l’étude et le conseil Deliotte dans une douzaine de grandes agglomérations de la région. L’entreprise note qu’à la troisième position de ce classement, on retrouve la capitale de la Bavière. Les acquéreurs immobiliers munichois doivent payer leur maison 5000 euros le mètre carré alors que dans les villes comme Milan, Lyon, Marseille ou encore Moscou, ce coût descend à 4000 euros.
Plus difficile pour les Russes
Le sondage de Deloitte portait également sur le rapport entre le prix du secteur de l’immobilier et la capacité financière à acquérir un logement. L’entreprise révèle dans ses conclusions qu’il est plus compliqué pour un accédant à la propriété russe de payer le prix de sa résidence. Celui-ci doit consacrer l’équivalent de ses revenus pendant une dizaine d’années pour pouvoir se payer une maison de soixante-dix mètres carrés.
La capacité à acheter de l’investisseur français est loin d’être meilleure. Celui-ci comptera 9,4 années de salaire. Les Britanniques et les Italiens semblent mieux lotis, mais les plus aisés sont les propriétaires nordiques. Au Danemark, un salarié n’aura besoin que de vingt-quatre mois de paie pour s’acquitter du prix d’un logement de la même catégorie.
La crise a segmenté le marché de l’Europe
Le cabinet Deloitte note par ailleurs dans ses analyses que la crise a secoué le marché de l’immobilier de chaque État et la récession a conduit à des écarts de tarifs importants entre les villes. L’entreprise souligne que les cours des biens n’ont pas arrêté d’augmenter en Grande-Bretagne, affichant un relèvement de 13,5 % l’année dernière en glissement annuel.
Vient ensuite la Russie avec un renchérissement de 11 % tandis que l’augmentation est évaluée à 9,1 % en terre allemande. La France hérite d’une hausse moins importante de 2,5 % ; la Belgique connaît un relèvement de coût de l’ordre de 3,1 %. Deliotte note par contre un repli des valeurs dans les nations telles que l’Espagne, l’Italie et la Hollande.
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solange