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Paris : Marché des bureaux en baisse au premier semestre de l’année
Le marché francilien des bureaux s’enfonce dans la crise au premier semestre de l’année. Malgré cela, les spécialistes prévoient un retournement de la situation d’ici la fin de l’année.
Le volume de transaction en baisse de 50 %
Le marché francilien des bureaux dévoile des chiffres inquiétants au premier semestre de l’année 2012. Comparativement à 2011, le volume de ventes est réduit de moitié, à 81 000 m2 en raison notamment de l’effet conjugué de la dégradation de la conjoncture économique et de l’attentisme des établissements financiers. Le segment de grande envergure est au plus mal, avec une transaction enregistrée au S1 2012 contre 6 transactions d’une surface totale de 103 000 m2 une année auparavant. Le marché des moins de 500 m2, quant à lui, a fait état d’un repli important de 44 % entre les deux années.
Des conditions de plus en plus serrées
Les établissements bancaires sont de plus en plus exigeants sur les conditions de prêt immobilier, a fait remarquer Matthieu Garreaud, directeur du Pôle Investissement de DTZ. La crise s’intensifie de jour en jour et pourrait devenir grave si aucune mesure n’était prise dans les plus brefs délais. Par ailleurs, le mois de septembre est perçu traditionnellement comme une période à haut risque par les acteurs du marché, caractérisée par un assèchement du marché interbancaire, note Maël Bernier, Porte-parole du courtier en ligne Empruntis.com. Nombre de banques françaises exigent désormais un apport personnel plus élevé pour un crédit immobilier.
Les prix sont ressortis stables
Malgré cela, les tarifs se sont montrés stables, à 5 366 € le mètre carré, sur l’agglomération parisienne au cours de la période. Toutefois, les chiffres sont très disparates entre les différentes branches du marché. Alors que le QCA et le Croissant Ouest accusent une légère hausse, la Deuxième Couronne, quant à elle, a pâti de la crise économique. Dans ce contexte morose, les demandes du secteur public et des établissements financiers ont grandement baissé. Cependant, les spécialistes du secteur tablent sur un second semestre plus dynamique, espérant un redressement de la situation.