Archives
- juillet 2015
- juin 2015
- mai 2015
- avril 2015
- mars 2015
- février 2015
- janvier 2015
- décembre 2014
- novembre 2014
- octobre 2014
- septembre 2014
- août 2014
- juillet 2014
- juin 2014
- mai 2014
- avril 2014
- mars 2014
- février 2014
- janvier 2014
- décembre 2013
- novembre 2013
- octobre 2013
- septembre 2013
- août 2013
- juillet 2013
- juin 2013
- mai 2013
- avril 2013
- mars 2013
- février 2013
- janvier 2013
- décembre 2012
- novembre 2012
- octobre 2012
- septembre 2012
- août 2012
- juillet 2012
- juin 2012
Catégories
Rien ne va plus entre acheteur et vendeur
Malgré un niveau record des taux de crédit, le marché immobilier en France est loin de sa sortie de crise. En effet, le nombre de transactions diminue et la détention foncière est de plus en plus courante. Apparemment, rien ne va plus entre vendeurs et acheteurs.
Un écart de prix non négligeable
Pour que le marché puisse reprendre de l’élan, il faut que propriétaires et acquéreurs aient une idée assez concordante sur le prix et la valeur des biens fonciers. Effectivement, une marge de 2 % à 5 % permettrait aux deux parties de trouver un compromis concernant le coût de l’habitation. Actuellement, il s’avère que les acheteurs s’attendent à des prix largement plus bas que ceux affichés par les vendeurs. Un écart de prix de 10 % à 15 % se creuse bloquant ainsi le marché. Si les potentiels acquéreurs s’attendent à une baisse significative des prix immobiliers à hauteur de 10 %, voire plus, les propriétaires maintiennent leurs prix ; certains misent même sur une hausse mesurée. En 2011, les notaires tablaient sur un effondrement des prix ; effectivement, ils sont sensiblement inférieurs à ceux affichés l’année précédente.
Acheter ou vendre ?
Face au gel du marché immobilier et la conjoncture actuelle, nombreux sont ceux qui hésitent à vendre ou acheter. Les acheteurs sont dans l’impasse avec les prix immobiliers qui font preuve de résistance ; de plus, ils craignent une remontée des taux de crédit. Les propriétaires de leur côté guettent la montée des prix et certains n’hésitent pas à afficher des prix inabordables et inappropriés à leurs biens. La réalité est que l’évolution des prix fonciers n’est pas celle espérée d’un côté comme de l’autre. Les prix moyens du mètre carré enregistrés au mois de septembre varient entre 1 337 € et 5 041 € pour un appartement et de 1 297 € à 3 042 € pour une maison. Évidemment, l’île de France détient toujours la palme des prix les plus élevés. Les plus bas sont enregistrés dans le Limousin.
Le pouvoir d’achat s’améliore
Bien que les prix des biens immobiliers se maintiennent, certains facteurs contribuent à l’amélioration du pouvoir d’achat des Français, notamment dans l’immobilier. Le premier coup de pouce dont les acquéreurs peuvent bénéficier, c’est le niveau extrêmement bas des taux de crédit proposés par les banques en France. En effet, le taux moyen pour un emprunt sur 20 ans est de 3,8 % tandis que sur 15 ans il revient à 3,45 %. Contracter un emprunt à des taux aussi abordables permet de réaliser une économie de plus de 800 euros par an malgré des prix légèrement en hausse voir stables. En d’autres termes, en empruntant à un taux de prêt aussi intéressant, l’acheteur verra le coût global du bien foncier baisser en notant qu’il inclut coût du crédit et valeur du logement.
Pingback: Rien ne va plus entre acheteur et vendeur