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Rien ne va plus entre acheteur et vendeur

Malgré un niveau record des taux de crédit, le marché immobilier en France est loin de sa sortie de crise. En effet, le nombre de transactions diminue et la détention foncière est de plus en plus courante. Apparemment, rien ne va plus entre vendeurs et acheteurs.

Un écart de prix non négligeable

Pour que le marché puisse reprendre de l’élan, il faut que propriétaires et acquéreurs aient une idée assez concordante sur le prix et la valeur des biens fonciers. Effectivement, une marge de 2 % à 5 % permettrait aux deux parties de trouver un compromis concernant le coût de l’habitation. Actuellement, il s’avère que les acheteurs s’attendent à des prix largement plus bas que ceux affichés par les vendeurs. Un écart de prix de 10 % à 15 % se creuse bloquant ainsi le marché. Si les potentiels acquéreurs s’attendent à une baisse significative des prix immobiliers à hauteur de 10 %, voire plus, les propriétaires maintiennent leurs prix ; certains misent même sur une hausse mesurée. En 2011, les notaires tablaient sur un effondrement des prix ; effectivement, ils sont sensiblement inférieurs à ceux affichés l’année précédente.

Acheter ou vendre ?

Face au gel du marché immobilier et la conjoncture actuelle, nombreux sont ceux qui hésitent à vendre ou acheter. Les acheteurs sont dans l’impasse avec les prix immobiliers qui font preuve de résistance ; de plus, ils craignent une remontée des taux de crédit. Les propriétaires de leur côté guettent la montée des prix et certains n’hésitent pas à afficher des prix inabordables et inappropriés à leurs biens. La réalité est que l’évolution des prix fonciers n’est pas celle espérée d’un côté comme de l’autre. Les prix moyens du mètre carré enregistrés au mois de septembre varient entre 1 337 € et 5 041 € pour un appartement et de 1 297 € à 3 042 € pour une maison. Évidemment, l’île de France détient toujours la palme des prix les plus élevés. Les plus bas sont enregistrés dans le Limousin.

Le pouvoir d’achat s’améliore

Bien que les prix des biens immobiliers se maintiennent, certains facteurs contribuent à l’amélioration du pouvoir d’achat des Français, notamment dans l’immobilier. Le premier coup de pouce dont les acquéreurs peuvent bénéficier, c’est le niveau extrêmement bas des taux de crédit proposés par les banques en France. En effet, le taux moyen pour un emprunt sur 20 ans est de 3,8 % tandis que sur 15 ans il revient à 3,45 %. Contracter un emprunt à des taux aussi abordables permet de réaliser une économie de plus de 800 euros par an malgré des prix légèrement en hausse voir stables. En d’autres termes, en empruntant à un taux de prêt aussi intéressant, l’acheteur verra le coût global du bien foncier baisser en notant qu’il inclut coût du crédit et valeur du logement.

Le marché immobilier en pleine difficulté n’a toujours pas trouvé d’issue. D’autre part, la situation délicate entre vendeur et acheteur ne fait qu’empirer les choses. En effet, un écart de prix de près de 15 % sépare propriétaire et acheteur alors que ce dernier a actuellement l’opportunité de profiter des taux de crédit particulièrement abordables proposés par les banques françaises. Sachez toutefois qu’avec la Loi Lagarde, tout emprunteur est libre de choisir son assurance emprunteur afin de bénéficier des meilleures garanties sur son crédit. Le pingouin vous montre la marche à suivre en confiant son assurance emprunteur à assurance-de-prêt-online, expert en assurance de prêt habitation.

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