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Immobilier parisien : célibataires et couples sans enfants montent en puissance !
Le profil type de l’acheteur parisien n’a eu de cesse d’évoluer ces dernières années. En 2011, les célibataires représentaient la moitié des acquéreurs dans la capitale. Les familles sans enfants continuent leur progression au-devant de la scène.
L’autre effet de la flambée des prix
Entre 2001 et 2008, le prix du mètre carré à Paris a augmenté en moyenne de 116,7 %, note l’Adil 75 dans son dernier rapport sur l’immobilier de la capitale. Cette hausse fulgurante des prix, faisant le bonheur des investisseurs, a grandement conditionné l’évolution du profil des acheteurs parisiens ces dernières années. L’accès à la pierre devient en effet de plus en plus difficile, voire impossible, pour les ménages modestes. Les cadres et les personnes jouissant d’une excellente situation financière ne connaissent pas la même situation : ils obtiennent plus facilement des prêts immobiliers avantageux, et deviennent logiquement propriétaires.
Célibataires et couples seuls aux premières loges
Contrairement aux foyers modestes et aux employés, l’inflation immobilière à Paris ne concerne que peu les célibataires. Ainsi, les personnes seules ont réalisé la moitié des achats immobiliers dans la capitale en 2011, d’après l’étude de l’Adil 75. Autre constat de l’organisme : la moyenne d’âge des acquéreurs parisiens, à 32 ans, reste en dessous de la moyenne nationale de 34,7 ans. Les investisseurs de la capitale disposent également de revenus nettement plus élevés que les ménages moyens. Les couples sans enfants représentent désormais 18,6 % des acheteurs à Paris, contre 12,8 % en 2011.