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Le prêt immobilier idéal pour un investissement locatif !
Le propriétaire se lançant sur le marché locatif doit choisir le bon prêt pour être sûr d’optimiser le rendement de son investissement.
Opter pour un emprunt amortissable…
L’emprunt amortissable est la première option de financement s’offrant à l’acquéreur. En contractant ce type de prêt, emprunteur verse tous les mois à sa banque les charges de son crédit constituées des intérêts du crédit, des assurances et aussi et d’une partie du capital prêté par l’organisme de financement. Cette option s’avère coûteuse au début du contrat pour le candidat à l’acquisition, mais ce dernier verra les dépenses liées à son projet immobilier baisser au fur et à mesure qu’il avance dans le remboursement des créances de la banque. Les intérêts, évalués en fonction du montant restant dû de la dette de l’acquéreur immobilier tendent à diminuer, ce qui fait que le coût global du crédit paraîtra moins élevé. Mais avant d’en arriver là , l’emprunteur doit prévoir un budget conséquent pour le rembourser l’argent du banquier.
Les sommes versées par le propriétaire au titre des intérêts de son prêt seront déduites de ses recettes locatives. Ce n’est qu’après que le fisc déterminera l’assiette imposable du loueur. Puisque le montant des intérêts baisse à mesure que le contrat de prêt approche de son terme, le bailleur constatera que ses charges fiscales à savoir les IR – impôts sur le revenu – de même que les prélèvements sociaux augmenteront proportionnellement avec sa base imposable.
… ou le crédit in fine
Si le futur propriétaire n’est pas convaincu par cette formule, il peut contracter un prêt in fine. En optant pour ce type de financement, le candidat à l’emprunt ne règle chaque mois que les intérêts du crédit qu’il a contracté auprès de sa banque. Ce qui fait que les charges mensuelles de l’emprunteur sont réduites au minimum parce que le remboursement du capital du crédit ne sera effectué que lorsque le contrat arrive à son échéance. À première vue, le coût global de l’emprunt de la personne investissant dans un immobilier locatif peut s’avérer important. En effet, la valeur des intérêts mensuels – calculée en fonction du fonds prêté initialement par le prêteur – est élevée et elle reste inchangée durant la vie du projet.
Tout l’avantage du prêt in fine repose sur le fait que cette option de financement procure des bénéfices fiscaux importants à l’acheteur immobilier. Les déductions fiscales de l’emprunteur ne se limitent pas à ses seuls intérêts. Les charges d’assurance viendront également réduire la base d’imposition de l’emprunteur évalué en fonction de ses revenus de location. L’emprunt in fine constitue de ce fait un bon moyen d’alléger la fiscalité pour le propriétaire gérant un patrimoine immobilier et qui paie l’ISF – Impôt de solidarité sur la fortune. Le capital emprunté à la banque est soustrait de la valeur fiscale du bien.