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Quelles solutions face à un refus de crédit ?
L’octroi d’un crédit est conditionné par différents critères établis par les banques. En fonction du niveau de risque du client, ces dernières ont la possibilité de lui refuser son prêt. Que faire dans ce cas de figure ?
Proposer son dossier à d’autres banques
En cas de refus d’un dossier de prêt, il est rare qu’une banque change d’avis. Mieux vaut donc tenter sa chance auprès d’un autre établissement. Pourquoi ? Parce que les conditions d’octroi de crédit varient souvent d’un établissement à l’autre. Si certaines sont strictes quant au profil de l’emprunteur, d’autres se montrent en effet plus souples en autorisant des prêts mixtes ou des prêts à paliers. Les banques généralistes sont par exemple plus enclines à accorder des prêts avantageux dans la mesure où elles disposent d’une importante puissance financière. L’ouverture d’un compte est requise pour bénéficier de leurs services.
Les banques spécialisées se présentent également comme des alternatives fiables en cas de refus de crédit. Leur métier se résume à proposer des prêts immobiliers aux particuliers. Elles sont ainsi en mesure d’adapter leurs offres à la situation de l’emprunteur. À noter en outre que l’octroi du crédit ne nécessite pas l’ouverture d’un compte. Enfin, le recours à un courtier est sans aucun doute l’une des solutions les plus fiables face à un dossier de prêt refusé. Le courtier fait en effet jouer la concurrence à la place de l’emprunteur. Il est en mesure de trouver les offres les plus intéressantes du marché pour une commission souvent inférieure à 800 euros.
Améliorer son dossier de prêt
Pour être sûr d’obtenir son crédit, l’emprunteur doit présenter un dossier sans risque : les comptes bancaires ne doivent présenter aucun découvert ou crédit en cours, l’apport personnel doit être au moins égal à 10 % de la somme demandée, la durée de remboursement doit être réduite au maximum et les qualités du logement doivent être mises en avant. Un emprunteur disposant d’une épargne est généralement bien vu par les banques. Il est ainsi important de mettre de l’argent de côté avant de se lancer, et ce, d’autant plus que l’épargne peut servir d’apport personnel.
Par ailleurs, il se peut que le refus de crédit soit justifié par une capacité d’endettement trop faible. Les échéances doivent en effet être inférieures à 33 % des revenus mensuels pour que les banques se risquent à prêter. Autrement, les chances d’obtenir le prêt sont minces. S’il est de plus possible d’allonger la durée du crédit pour bénéficier de mensualités réduites, il faut savoir que les taux seront dans ce cas plus importants. L’acquisition du logement revient dans ce cas plus cher que son prix initial. Il est ainsi conseillé d’améliorer sa capacité d’endettement avant de s’engager à long terme.